Le saviez-vous…

Une année scolaire se termine lentement et il faut déjà penser à demain…

Un Institut diocésain au service de la formation : IDF

L’Institut diocésain de formation (IDF)  a été créé en 2012 afin de participer à la mission de l’Église catholique en organisant, soutenant et diffusant une formation théologique, pastorale et didactique ancrée dans la réalité sociétale actuelle.

Ces formations longues ou courtes, certifiantes ou non, s’adressent à un large public, désireux d’approfondir la foi et d’en répondre.

Les formations certifiées sont organisées sur  trois pôles géographiques dans le diocèse de Namur, en ses deux provinces de  Luxembourg et de Namur : Namur, Rochefort et Libramont.

Ces formations certifiées sont :

  • CDER : Certificat Didactique de l’Enseignement de la Religion
  • CeTP : Certificat en Théologie Pastorale

Chaque pôle organise sa formation en regard d’un public cible spécifique, tout en ayant soin de l’ouvrir également à tous. Chaque pôle a une organisation propre pour la formation qu’elle dispense et dispose de sa propre direction académique et administrative.

Pour plus d’informations, voir  http://www.idfnamur.be

Retour sur la septième journée de la catéchèse

Le septième rendez-vous de celles et ceux qui sont concernés, engagés, passionnés… par la catéchèse s’est tenu samedi dernier à Beauraing. En matinée, près de 200 participants ont écouté Stijn Van de Bossche, secrétaire général – pour la partie néerlandophone du pays – de la commission interdiocésaine pour la catéchèse au sein de la conférence des évêques. Thème de son intervention: « La catéchète, disciple-missionnaire et sœur aînée ».

En 2006 déjà, dans leur déclaration « Devenir adulte dans la foi », les évêques belges faisaient référence aux paroles de Tertullien: « On ne naît pas chrétien, on le devient. » Depuis, ces mots résonnent un peu partout dans l’Eglise de Belgique. Mais s’il est vrai que la première partie de l’expression (« on ne naît pas chrétien ») semble acceptée de tous, ce n’est pas forcément le cas de la seconde (« on le devient »). Stijn Van de Bossche, par ailleurs président de l’équipe européenne de catéchèse et chargé de cours à Lumen Vitae, l’a rappelé samedi dernier aux participants de la septième journée de la catéchèse: « Nous acceptons plus ou moins qu’il faut initier un réaménagement de notre vie d’Eglise, mais on reste nostalgique d’une situation passée où la transmission de la foi était naturelle. On voit à l’horizon, d’un côté, le terroir de la chrétienté culturelle que nous avons quitté, et de l’autre, le terroir missionnaire où nous ne sommes pas encore, et nous restons un peu entre les deux. C’est là que notre Eglise se situe en ce moment. »

http://www.diocesedenamur.be.

Avec les femmes du Congo et du Burundi, semons le monde de demain!

Dès le 14 février, jour d’entrée en Carême, les chrétiens de Wallonie et de Bruxelles seront une nouvelle fois invités à vivre la solidarité et le partage avec les populations pauvres des pays du sud. Au cœur de la campagne 2018 d’Entraide et Fraternité: les femmes paysannes du Congo et du Burundi. À signaler parmi les activités de ce début de Carême, la visite prochaine de Mgr Joachim Ntahondereye, président de la Conférence des évêques catholiques du Burundi.

À l’est du Congo et au Burundi, c’est la petite agriculture qui nourrit les familles. Elle représente la principale source de revenus et fournit les moyens d’existence à 80 % de la population. Mais dans cette région, les paysans, ce sont surtout des paysannes! Comme dans beaucoup d’autres pays, ce sont, en effet, les femmes qui produisent la majorité des denrées alimentaires destinées à la consommation des ménages… Ironie du sort, ce sont elles aussi qui se retrouvent pourtant largement surreprésentées parmi les 868 millions de personnes qui, aujourd’hui, souffrent de la faim dans le monde. http://www.diocesedenamur.be