Armel Job, devenu membre de l’Académie royale de langue et littérature française de Belgique en octobre dernier, est l’auteur en deux décennies, d’une vingtaine de romans. « Il y a chez Armel Job, quelque chose du médecin légiste dans sa manière d’autopsier l’âme humaine et d’examiner la conscience sous toutes ses coutures » disait de lui Gabriel Ringlet lors de son intronisation.

Ce lundi 4 janvier, dans l’Avenir du Luxembourg, Armel Job répondait au journaliste qui l’interrogeait.
Cette année, quelle est votre formule de vœux dans vos cartes envoyées à vos amis et connaissance ?
Armel Job répondait : » Mes vœux passeront par la bouche d’une petite fille, la petite fille Espérance, chère à Péguy. «
Redécouvrons ce très beau texte et poème écrit par Charles Péguy :
Ce qui m’étonne, dit Dieu, c’est l’espérance.
Et je n’en reviens pas.
Cette petite espérance qui n’a l’air de rien du tout.
Cette petite fille espérance.
Immortelle.